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DEUX RIEN

Binôme poétique

Tous publics

Durée : 1h10

Version extérieure disponible

 

• De et par Clément Belhache et Caroline Maydat

• Regards complices : Denise Namura et Michaël Bugdahn

• Création lumière : K.L. Francisco

• Création sonore : Michaël Bugdahn

• Musiques de : Wim Mertens ; Henri Colpi et Georges Delerue

 

 

Ces clandestins du réel s'occupent, s'écrivent, 

s'inventent un ailleurs en prenant des chemins buissonniers

 

- 1er prix de danse chorégraphique contemporaine et prix du public "Les Synodales"

- Prix de la Bergerie de Soffin et prix du Festival "Entrez dans la danse"

- 1er prix d'écriture chorégraphique du Cortoindanza Festival 2017 (Italie)

Production : Compagnie Comme Si - Co-production : Théâtre Victor Hugo Bagneux, Scène des Arts du Geste - VSGP

Soutiens : Spedidam ; Conseil Départemental de l'Essonne ; Région Bourgogne Franche-Comté ; Les Synodales ; Studios de Virecourt ; Bergerie de Soffin ; T-Off Cortoindanza ; Simonetta Pusceddu ; Les Champs de Libr'hisse ; Le CAC du Béon ; EDT 91 ; Le Pavillon de Romainville (93).

 

 

L'histoire

Au moment où nous observons cet étrange binôme, rien ne nous indique son histoire. Pas de passé, pas de futur, seulement l'instant présent.

Ce qu'ils font là ? Rien, deux fois rien. Ils sont assis là, à se partager un bout de banc tout juste assez grand pour leurs deux paires de fesses.

Accrochés l'un à l'autre, bouée ou boulet, ils se maintiennent au bord du gouffre, pour le meilleur et pour le pire.

 

Ces "deux riens", clandestins du réel s'occupent, s'écrivent, s'inventent un ailleurs, un entre-deux et choisissent de passer à l'abordage du monde réel par le biais du jeu. La vie et la fiction se répondent sans discontinuer. Un élément comme une balise, dernier ancrage au monde réel : un banc. Théâtre de nos émotions...

 

La Compagnie Comme Si

a toujours été fascinée et inspirée par la capacité inhérente d'invention liée à l'enfance. 

Le nom de la compagnie s'en est même accomodé : "faire comme si" est à l'origine même de notre métier. Dans chacune de nos créations, nous racontons des histoires qui s'adressent à tous. De plus, nous considérons la pédagogie comme un aspect essentiel de la recherche que nous développons.

 

Avec Deux rien, la Compagnie échange la parole contre la danse et le théâtre gestuel.

Caroline Maydat et Clément Belhache sont partis d'une envie commune de raconter une histoire sur les thèmes de la solitude et le besoin de l'autre, au moyen d'un langage corporel qui leur serait propre.

 

C'est à partir de leurs expériences dans les domaines du théâtre, de la danse, du mime et du clown, qu'ils ont développé des techniques de mise en mouvement d'un récit mêlant l'onirique et l'humour.

Extraits de presse

• "Deux rien s'affranchit des mots au profit de la gestuelle et de l'expressivité des corps, à travers le clown, le mime et la danse. A la dureté du texte, les deux artistes ont préféré une poésie, un comique et une légèreté assumés. Avec ce spectacle burlesque et muet (mais pas silencieux !) ces Charlots des temps modernes préfèrent rire pour ne pas pleurer. (...) Si Caroline Maydat et Clément Belhache se permettent le registre comique, c'est avec une extrême humanité et tendresse." Télérama

 

• "Le mime, le clown et la danse : difficile de ne pas évoquer le souffle mélancolique de Charlot tant le prodigieux talent des comédiens, la quête d’humanité qu’ils véhiculent avec tendresse, poésie et émotions, sont dans la droite filiation de leur illustre ancêtre. À la fois drôles, fragiles et attachants, ces deux oubliés nous interpellent, avec tendresse, sur le besoin de l’autre.

Quand la lumière s’éteint, le spectateur a le sentiment d’avoir vécu un moment de grâce qui, les jours suivants, s’épanouira en autant de questionnements.." Classique en Provence

 

• "Les deux comédiens et danseurs, Caroline Maydat et Clément Belhache, offrent un très beau moment de poésie. Entre danse et clowneries, le duo fait passer les spectateurs du rire aux larmes sans prononcer le moindre son." France Info

 

• "Dans un subtil amalgame de grâce, d'humour et de tendresse, sans un mot, par la seule expressivité du mime et de la danse, Clément Belhache et Caroline Maydat emportent l'assemblée dans une épopée magique dont certaines images - ce banc, par exemple, transformé en embarcation fragile sur un océan impétueux - font écho aux tourments du monde actuel." La Croix

 

• "Grâce à une scénographie parfois spectaculaire et un merveilleux accompagnement musical, Deux Rien transporte le public vers un sublime voyage pour "ailleurs". Sans texte, il nous laisse sans voix !" L'Echo Républicain

 

• "C'est très drôle, très tendre, habité de jolies interactions avec le public et c'est beau, simplement. Structuré comme un spectacle qui s'adresserait aux enfants et ferait rêver les adultes." La Provence

 

• "Sans parole, ils déploient une gestuelle burlesque, à la confluence de la danse, du mime et du clown. Cette simplicité est portée par une inventivité scénique admirable qui tient de l'émouvant." Marianne

 

• "Simple et grandiose. Deux Rien nous démontre que ce sont les "petits riens" qui font les grandes choses. Un spectacle poétique, lunaire et pourtant plein de sens et d'à propos." Rue du Théâtre

 

• "Nous passons du sourire au rire, de suspensions de surprise aux délices de la rêverie. Si le burlesque prédomine, c'est parce que rien ou "deux fois rien" n'est vraiment pris au sérieux. Tout est si simple à recevoir, tout semble nous traverser et nous secoue. A moins qu'il ne s'agisse de cette incroyable force d'évocation qui ressort des gestes, des postures et des situations pantomimées de ces deux artistes époustouflants de justesse et d'habileté." Spectatif

 

• "Deux clowns-clochards amènent le public dans leur quotidien fait de petites galères, de gros fous rires et de belles émotions. Spectacle poétique. La magie du mime fait effet. Petits et grands rient et s'émeuvent sans toujours savoir pourquoi.(...) A travers une esthétique délicate et une gestuelle parfaitement chorégraphiée, les personnages se montrent à la fois interrogatifs, observateurs, maladroits, charismatiques et drôles. Humour enfantin et profonde gravité se mêlent finement, en silence ou en musique." Dordogne Libre

 

• "Pas un mot, des gestes ciselés, des soupirs... rires du public aussi, notamment ceux des enfants. Un lien se crée : les deux personnages (formidablement interprétés) usent d'oeillades complices bien placées, entre mime et film muet d'autrefois. Beaucoup de douceur et de drôlerie pour exprimer la dureté dans laquelle vivent ces deux exclus qui ne peuvent compter que l'un sur l'autre. La poésie pour mettre l'accent sur un drame de société. Dramatique, sensible et burlesque. Une belle réussite." L'Yonne

 

• "Une ode à l’imagination, un questionnement sur l’altérite et la solitude, la volonté de montrer autrement la figure du sans abri. Un récit où seuls les corps parlent. Ils se cherchent, se provoquent, se supportent, s’interpellent… Un ballet burlesque et touchant, parsemé d’humour et d’une simplicité désarmante." Le bruit du Off

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